A Deux, C’Est Mieux.

Après avoir fait l’amour avec mon chéri dans sa chambre d’étudiant, je prenais mon temps pour me rhabiller avant qu’il me reconduise chez mes parents.
Nous parlions de nos cours du lendemain, des prochaines vacances que j’aimerais bien passer avec lui, de sa sœur qui venait d’accoucher de jumeaux, lorsque de la façon la plus sérieuse du monde il me demanda « et toi, tu en voudras combien ? ».
Devant mon air surpris, il m’a embrassé amoureusement. C’est ainsi qu’il m’a demandée en mariage, sans bague, ni genou à terre.
J’étais follement heureuse, je ne sais même plus si je lui ai dit oui.

C’était il y a 16 ans, nous avons atteint la quarantaine. Les s ont grandi, nous nous accrochons parfois avec eux, les ados ne sont jamais simples, mais dans l’ensemble tout va bien.
Notre vie sexuelle me direz-vous, normale.
Nous avons toujours autant de plaisir l’un avec l’autre. Que demander de plus ? Nous sommes heureux, c’est bien le principal.

Bien sûr avec le train-train quotidien, la routine s’est installée. Ni lui ni moi n’étant du soir, fatigués après une journée de boulot et une soirée télé plus ou moins intéressante, le premier levé réveille l’autre par une série de baisers au grès de sa fantaisie.

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Toujours pressée d’aller à l’essentiel, Françoise a oublié de se présenter.
C’est une belle femme, normal c’est la mienne, je ne l’ai pas épousée uniquement parce qu’elle fait bien la cuisine. Pas très grande, cheveux courts, brune, enfin châtain foncé, elle fait depuis toujours régulièrement du sport pour s’entretenir, et pour ceux qui veulent des détails, elle entretient toujours avec soin sa toison pubienne, laissant entrevoir ses lèvres intimes. Elle s’habille assez sobrement, plutôt BCBG, avec une touche sexy et parfois un décolleté plongeant sur une poitrine qui m’a toujours fait rêver.

Je pense que mon physique vous intéresse beaucoup moins.

Sachez que je me nomme François.
Françoise et François… Ne riez pas.

Tous les soirs, après le film ou l’émission choisie d’un commun accord, avant d’aller nous coucher, nous avons pris l’habitude de passer un moment devant notre ordinateur afin de connaître les dernières nouvelles et répondre aux mails reçus dans la journée.
Chacun le sien, Françoise dans la chambre d’amis où elle a installé ses affaires, moi dans une toute petite pièce que j’ai appelée pompeusement mon bureau.

Elle va se coucher la plupart du temps avant moi, et est endormie lorsque je me glisse sans bruit dans notre lit pour ne pas la réveiller.

Il faut dire que j’apprécie particulièrement ce moment de liberté. Après avoir consulté et répondu à mes messages, je peux regarder quelques vidéos porno, activité découverte quelques années plus tôt. J’étudie ainsi des positions que je me jure de reproduire avec ma femme, sans jamais vraiment y parvenir.
Cela se termine inévitablement par une petite branlette qui facilite grandement la recherche du sommeil.

Naturellement, les soirs où nous commençons à nous déshabiller sur notre canapé avant la fin des émissions, nous attendons le lendemain pour répondre à nos mails.
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Très vite, en surfant sur Internet, je me suis focalisé sur les sites présentant des actrices ou des célébrités dans le plus simple appareil. Je pouvais m’imaginer Don Juan séduisant toutes ces dames.

Souvenir de mes émois de jeune homme, je retrouvais avec plaisir les films qui m’avaient charmé durant mon adolescence. C’est avec une certaine nostalgie que j’ai revu Laura Antonelli, actrice italienne des films érotiques de l’époque. Perverse ou ingénue, toujours sensuelle, elle est responsable des nombreuses taches que ma mère découvrait le matin sur mes draps.

Un peu fétichiste, j’ai toujours été fasciné par les belles poitrines. Je ne dois pas être le seul homme dans ce cas, si je considère les regards portés sur mon épouse quand nous allons sur une plage.


Plus jeune, je ne me lassais pas d’admirer les seins de Pauline Lafont ou de Maruschka Detmers. Je pouvais bander à la seule vue d’un téton découvert.
Je ne boude pas pour autant les nouveautés. Les seins de Ludivine Sagnier, de Léa Seydoux ou de Déborah François n’ont rien à envier à leurs ainés.

Que d’amantes virtuelles ! En fermant les yeux, je peux baiser avec bonheur Isabelle Carré, Virginie Ledoyen, Diane Kruger, Nicole man et tant d’autres… Elles n’ont jamais la migraine.

Cameron Diaz sait-elle combien de fois je l’ai sodomisée en la voyant se trémousser sur mon écran, ou Cécile de France traverser entièrement nue mon salon pour aller prendre une douche.

Je ne saurais jamais si Scarlett Johansson ou Laetitia Casta appréciaient les gorges profondes que je leur proposais. Pourtant, elles s’y prêtaient de bon cœur.

Parfois, j’invitais Françoise à nous rejoindre, ou mieux encore à se faire sauter par Brad Pitt ou George Clooney devant moi. Elle ne l’a jamais su.

J’ai ainsi pris l’habitude de passer tous les soirs un moment intime avec l’une de ces demoiselles.

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Je m’égare, revenons à mes trouvailles sur Internet.
J’ai découvert un site où des amateurs relatent leurs exploits et leurs fantasmes. Je devenais ainsi voyeur, témoin de leurs souvenirs, ou plutôt de leurs délires qui dépassaient tout ce que j’avais pu imaginer jusque-là.
Abandonnant les vidéos avec leur étalage de chair fraîche, pour me consacrer à la lecture de ces récits érotiques, j’alimentais peu à peu mes propres fantasmes.
J’ai appris ce qu’étaient l’échangisme et le candaulisme plus répandus dans les récits que dans ce que je voyais autour de moi, parmi nos amis. Réalité ou pas, j’étais excité par ces lectures.

Les histoires que je lisais avaient déteintes sur moi. Je m’imaginais baiser la voisine ou la meilleure amie de ma femme, et parfois sa cousine spécialiste de la fellation, si elle savait.


Tout naturellement, Françoise partageait nos ébats. Me souvenant de certains récits, je la regardais jouir avec des blacks à grosses bites. Rapidement, je suis revenu à des plaisirs plus simples, j’oserais dire plus à ma portée.

Parfois, je l’imaginais se promener nue chez nous, sans aucune fausse pudeur, passant et repassant devant la fenêtre grande ouverte de notre chambre, ou encore un grand classique, allant ouvrir au livreur de pizza dans le plus simple appareil.

Boostant ma libido, ces pensées me revenaient en mémoire lorsque nous faisions l’amour, me permettant d’atteindre des sommets ignorés.

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De la lecture à l’écriture, il n’y a qu’un pas que j’ai franchi allègrement.

Tout d’abord m’inscrire, trouver un pseudo : LionKing. Ça sonne un peu macho, parfait.

C’est ainsi que j’ai mis par écrit et publié sur ce site, mes fantasmes les plus délirants.

Sous la forme de faux souvenirs, je laissais croire que la femme, une belle salope me faisait cocu pour mon plus grand plaisir.
Histoires de libertinage entre adultes consentants, je la surprenais au lit avec mon meilleur ami, ou avec son patron qui l’enculait en levrette. Sans jamais intervenir, les yeux dans les yeux, la regardant jouir.

Tout y est passé, son club de gym, ses collègues, à la maison, en vacances, en simple, à plusieurs, soirée gang bang, même avec une femme grand fantasme masculin. Je me suis aussi joint à eux, soit pour la déshabiller et l’offrir à des mâles en rut, soit pour un trio en la prenant en double.

Mes histoires ont leurs adeptes, je reçois de bons commentaires, d’autres me traitent d’obsédé, de détraqué, je n’en ai rien à faire. Le simple fait d’écrire suffit à mon plaisir.

Parmi mes lectures, je sélectionne les auteurs dont les récits me correspondent le plus, délaissant ceux mal écrits ou dégradant l’image de la femme.
Parmi eux, une jeune femme alimentait particulièrement mes rêves, elle avait 30 ans, libre de son corps.
Son pseudo me faisait rêver : Coquinne06.
Dans chacune de ses histoires, elle trompait allègrement son mari sans aucun remord, non pas qu’elle ne l’aimait pas, mais c’était elle l’héroïne, elle seule, son mari était le plus souvent absent, transparent, uniquement mentionné pour réveiller le cocu qui sommeille dans tous les lecteurs.

Rien ne l’arrêtait. Ces histoires étaient une suite, très bien rédigée, de coup de cœur et de coup de queue, couchant de toutes les façons possibles avec la gent masculine. Avec le concierge venant porter un paquet, avec son patron qu’elle suçait cachée sous son bureau, tandis que sa secrétaire en minijupe venait faire signer le courrier, avec des collègues dans son bureau, avec le dernier stagiaire, ou en déplacement avec un gros client à convaincre.

Son imagination semblait inépuisable, sachant inventer à chaque fois une nouvelle situation, une nouvelle intrigue, dans laquelle elle distillait des scènes de sexe très très chaudes, responsable de mes meilleures érections solitaires.

Je retrouvais mes fantasmes au féminin. Tandis que je me branlais en lisant sa prose, j’essayais de l’imaginer. Qui était-elle dans la vie ? Une mère de famille bien rangée, ou un homme se cachant derrière ce pseudo féminin pour délirer ?
Cela m’importait peu. L’anonymat d’Internet permet tout. Tous les jours, j’attendais avec impatience ses nouvelles publications.

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Aujourd’hui, retrouvant nos ordinateurs respectifs, je me prépare à une petite soirée avec la paire de seins de Claire Keim, avant de continuer à écrire mon prochain récit, une histoire où la femme sous couvert de passer une soirée entre filles, trompe son mari avec ses meilleures amies. Un gang bang au féminin, cela sortira de l’ordinaire, pas de mec en vue.

A peine ai-je saisi mon mot de passe, et ouvert ma boîte aux lettres, j’entends Françoise jurer, et une femme qui jure ce n’est pas beau surtout quand elle croit ne pas être entendue.

J’accours me demandant ce qui a pu la mettre dans un tel état. Impossible d’allumer son ordi, à la fin du boot, il revient à son point de départ. Je suis l’informaticien-maison, serviable je prends l’affaire en main et au sérieux. Certainement un virus malintentionné.

Tandis que je m’attelle à la tâche en allant chercher quelques CD miracle, mon épouse me dit emprunter mon poste pour lire ses propres messages.
Prudence, j’ai juste le temps de fermer ma boîte aux lettres, même si aucun message suspect n’est visible.

Une heure et demie plus tard, après le passage de quelques anti-virus et avoir rebooté trois fois, son système fonctionne à nouveau. Content de moi, je vais le lui signaler, mais elle a fini de répondre à ses messages et est déjà dans notre chambre, prête à se coucher. « Je verrais ça demain » me dit-elle en guise de remerciements.

J’ai bien envie de la rejoindre, mais il me faut encore vérifier que le dernier boot de sa machine n’a rien détecté de suspect. Manque de chance, le système signale devoir récupérer des documents endommagés par le virus.
Dommage, d’abord terminer ce sauvetage avant de pouvoir la retrouver au lit. Ce n’est pas ce soir que j’irais m’occuper des seins de Françoise, ni ceux de Claire.

Je joue sur mon smartphone en attendant que son ordi fasse le boulot, jetant de temps à autre un œil sur le bon déroulement des opérations.

Premier fichier restauré, tiens un texte Word « Déplacement à Londres », c’est quoi ce truc. Je lis, les bras m’en tombent, une sombre histoire d’adultère d’une assistante de direction en déplacement professionnel avec son patron. Ouah ! C’est chaud. Pas possible c’est Françoise qui a écrit ça ? Tout y passe, d’abord une belle fellation décrivant le plaisir de madame, puis une baisse en bonne et due forme sur un bureau de la salle de réunion, pour se terminer par une sodomie en levrette sur la moquette de la salle. La fin me laisse pantois, la belle, tout sourire, dans les bras de son mari venu l’accueillir à l’aéroport.

A peine remis de ma surprise, un autre texte vient d’être reconstitué « Vacances corses », ça me dit quelque chose, j’ai déjà lu cette histoire de vacances en amoureux, madame s’envoie en l’air avec un marin du petit port de pêche jouxtant la plage où le mari bronze sans se douter de rien. Pas besoin d’aller plus loin, je reconnais la prose de Coquine06 de mon site préféré.
Comment Françoise peut-elle avoir ce document sur son poste ? Je suis sidéré, ma femme connaît ce site d’histoires érotiques et les télécharge certainement pour les lire plus tard tranquillement. Mais alors, elle a certainement déjà lu les histoires de LionKing que j’écris.

En voilà un autre qui vient d’être reconstitué par le système « Mon ami photographe », celui-là je l’avais particulièrement aimé, le mari voyeur laisse un photographe peloter sa femme devant lui pendant une séance de photos de nus, à la fin la Belle baise sous la douche avec le dit photographe, le mari a disparu.

Intrigué, je fouille dans son répertoire Word. Ouah ! Ils sont tous là, tous les textes de Coquine06, avec la date de parution, ils se suivent régulièrement, environ un toutes les trois semaines depuis 2 ans, d’où viennent-ils ? Un seul auteur… pas possible, je rêve c’est le nom de Françoise.
Pas de doute, c’est bien ma femme qui se cache sous le pseudo de Coquine06. J’en relis quelques-uns, ce n’est pas vulgaire, mais des mots crus, des émotions féminines décrites avec précision. C’est ce qui m’avait plu en elle. Une question me vient à l’esprit : c’est du vécu ou des fantasmes ?

Encode sous le choc, je ferme son écran et vais me coucher. La nuit porte conseil, j’aviserais demain.

Tandis que je me glisse entre nos draps en essayant de ne pas la réveiller, je l’entends « alors mon chéri, tu as sauvé mon ordinateur ? », je sursaute « oui, oui ».

Elle se retourne, petit bisou sur la joue, « Merci mon chéri, t’es le plus fort ». Elle se colle à moi, elle est nue, sans la nuisette habituelle. Dans le noir, je la devine, je ne la vois pas. Pas le temps de me poser de questions, elle pose ses lèvres sur les miennes. Sa bouche, sa langue descendent progressivement, me couvrant le corps de baisers, sur ma poitrine elle s’attarde sur mes tétons, mon ventre, mon pubis… Son traitement a produit l’effet désiré, en arrivant sur ma queue, elle doit constater que je ne suis pas insensible. Elle la prend dans la main, dans la bouche, me suce par de longs va-et-vient, tête le gland qu’elle malaxe entre ses lèvres et à nouveau enfonce ma bite jusqu’à avoir son nez dans mes poils. Je me laisse faire. Françoise recommence la manip 2 fois, 3 fois, je ne compte plus, je sens la sève monter en moi, je vais éclater, impossible de tenir une minute de plus. « Attention ! » je me crispe en essayant de sortir de sa bouche pour lui inonder la poitrine. Elle ne me laisse pas faire, me garde entre ses lèvres, me laissant décharger dans sa gorge. Ma bite bien au chaud, elle avale tout mon foutre. C’est bien la première fois.

En remontant poser sa tête sur l’oreiller à côté de la mienne, elle me chuchote « Je t’aime ».

Nous restons l’un contre l’autre, allongés sur le dos. Elle allume la petite lampe de chevet sur sa table de nuit. Je bande, ses yeux regardent avec envie ma bite bien raide. Avec un grand sourire, elle se place à califourchon sur mon ventre et rapidement guide ma queue dans sa fente en s’asseyant sur moi. Je réalise que c’est elle qui me baise, ses mains sur mes épaules, ses yeux au fond des miens. Au rythme de son déhanchement, ses seins dansent devant moi, je les empoigne, les malaxe et joue avec ses tétons. Je n’en peux plus, comment résister, j’éclate au fond de sa chatte. Un orgasme fulgurant la traverse, la faisant trembler de tout son corps.
En haletant, elle s’effondre sur moi, ses seins contre mon torse, sa tête au creux de mon cou, ma queue toujours figée en elle. Je n’ose respirer.

Au bout de quelques minutes, elle se lève, radieuse, et se dirige dans la salle de bain. Je peux enfin détendre mes muscles qui commençaient à s’ankyloser.

L’eau de la douche me ramène à la réalité, je décide de la rejoindre. Arrivé à la porte, je la regarde comme si je ne la connaissais pas, qu’elle est belle ! Elle me tend la main. Je dépose un baiser sur ses lèvres, elle se retourne, les mains contre le carrelage elle se cambre tendant son cul vers moi. Je m’enfonce dans sa chatte offerte sans dire un mot. La tenant par les hanches, mon sexe, qui coulisse dans son fourreau d’amour, déclenche en elle un nouvel orgasme.

La fierté du mâle, je l’ai fait jouir une nouvelle fois, sans avoir éjaculé. Je ne suis pas un surhomme, il faut bien recharger les batteries de temps en temps.

A côté l’un de l’autre dans notre lit, elle se blotti dans mes bras. Sa respiration régulière me berce, un bien-être m’envahit.
Après cette soirée aussi soudaine qu’inattendue, je n’arrive plus à penser, ma tête est aussi vide que mes couilles.

Au matin, je suis réveillé par ses baisers. Rapidement sa bouche aspire ma bite, je ne lutte pas, sa langue accueille ma jouissance. Elle me sourit un filet blanc au bord des lèvres, « Chéri, prépare-moi un bon café ».

Tandis qu’elle prend sa douche, je vais répondre aux emails que je n’ai pas pu lire hier soir. Mon ordinateur est encore allumé, tel que Françoise l’a laissé avant d’aller se coucher. Un texte est à l’écran, celui du dernier récit que je devais poster. Un rapide coup d’œil me fait découvrir une dizaine de textes ouverts, tous mes fantasmes étalés sous mes yeux.

Je sens une présence derrière moi. Françoise, nue, pose ses mains sur mes épaules, se penche. Je sens ses seins contre mon dos. Elle m’enlace de ses bras en me faisant de petites bises dans le cou. Je devine que ses yeux fixent sur l’écran les textes qu’elle a lus hier.
Elle me murmure à l’oreille « Mon Roi » « Mon Lion ». Je tourne la tête, dépose un baiser sur ses lèvres, « ma Coquine ».

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Maintenant, nouvelle habitude, nous attendons le matin pour lire nos messages.
Nous nous couchons ensemble après avoir éteint notre poste de télévision, pour nous endormir dans les bras l’un de l’autre une heure après, ou plus…

Les seuls véritables perdants furent les lecteurs assidus à nos histoires, certainement déçus de ne plus trouver les récits de leurs deux auteurs favoris Coquine06 et LionKing.

Un matin, ils découvrirent avec plaisir le texte d’un nouvel auteur A2Cmieux.


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Comme moi, vous pouvez retrouver mes meilleures amies sur Internet :

Laura Antonelli dans « Malicia » et « Ma femme est un violon ».

Pauline Lafont dans « L’été en pente douce ». Bienheureux Jacques villeret.

Maruschka Detmers dans « La vengeance du serpent à plumes ».

Ludivine Sagnier dans « Swiming pool » et « Gouttes d’eau sur pierres brûlantes ».

Léa Seydoux dans « La vie d’Adèle : chapitre 1 et 2 » et « Les adieux à la reine ».

Déborah François dans « Cézanne et moi » et « Mes chères études ».

Isabelle Carré dans « Les sentiments » et « Se souvenir des belles choses ».

Virginie Ledoyen dans « Les adieux à la reine » et « Jeanne et le garçon formidable ».

Diane Kruger pour son charme et sa classe.

Nicole man dans « Eyes Wide Shut ».

Cameron Diaz dans « Charlie et ses drôles de dames ». Elle doit avoir le cul monté sur roulements à billes.

Cécile de France dans « Irène ».

Scarlett Johansson dans tous ses films.

Laetitia Casta, pour ses photos en noir et blanc… et pour son prénom.

Claire Keim dans de nombreux téléfilms.


Et tant d’autres …

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